L'air intérieur dans les structures sociales et médicales
La qualité de l'air dans les structures médico-sociales
Notre devoir, en tant que société humaine, est de prendre soin de tous et, en particulier des plus fragiles d'entre nous.
Les établissements médicaux sociaux, les structures sociales, les établissements de soins de longue durée accueillent des personnes âgées, des enfants ou adultes handicapés, des personnes en réinsertion sociale qui sont toutes plus sensibles que le reste de la population. Les études réalisées démontrent l'impact de la qualité de l'air intérieur sur la santé des personnes qui résident dans ces établissements.
Les résidents restent dans des espaces fermés une grande partie de leur temps et, de ce fait sont beaucoup plus exposés aux polluants. Non seulement les particules ultra fines, PM2.5, mais aussi exposés aux composés organiques volatils (COV) en particulier ceux émis par les produits de nettoyage et d'entretien, les détergents.
Le législateur, conscient de cette situation, légifère pour protéger la population, et au-delà des obligations qui s'appliquent aux ERP, une étape particulière s'impose aux ESSMS (Etablissements médicaux sociaux).
C'est pourquoi le 1er janvier 2025, la surveillance obligatoire de la qualité de l’air intérieur ainsi que les plans d'actions d'améliorations s’applique aux structures et aux établissements suivants :
- Les structures sociales et médico-sociales rattachées aux établissements de santé ainsi que les structures de soins de longue durée de ces établissements ;
- Les établissements de l’action sociale et des familles ;
- Les établissements pénitentiaires pour mineurs ;
Le dispositif réglementaire encadrant la surveillance de la qualité de l’air intérieur dans ces établissements comporte :
- Une évaluation annuelle des moyens d’aération qui peut être effectuée par les services techniques de l’établissement ;
- Un auto-diagnostic de la qualité de l’air intérieur ;
- Une campagne de mesures de polluants (formaldéhyde, benzène, et CO₂ pour évaluer le confinement) par un organisme accrédité, réalisée à chaque étape clé de la vie du bâtiment ;
- Un plan d’actions visant à améliorer la qualité de l’air intérieur et prenant en compte l’évaluation annuelle des moyens d’aération, l’auto-diagnostic et la campagne de mesures.
1) Les spécificités des établissements médicaux sociaux
Il est établi que l'air intérieur contient des polluants avec une plus grande concentration qu'à l'extérieur. En moyenne, nous passons 90 % du temps à l'intérieur. Au sein des établissements médicaux sociaux, des établissements pénitentiaires et de reinsertion, cette proportion est augmentée, compte tenu de la typologie des personnes qui y vivent, qui passent encore plus de temps que la moyenne dans des univers clos.
2) Les particularités des hôtes.
- Au sein des EHPAD : les personnes sont âgées, souvent affaiblies, présentant des pathologies diverses, dont des affections aériennes.
- Au sein des établissements de soins : par essence des personnes sous traitements, avec un organisme affaibli, en cours de convalescence, et dont la capacité de résistance aux bactéries et virus doit être préservée.
- Au sein des établissements sociaux : les familles en réinsertion sont souvent des personnes vulnérables, affaiblies par les difficultés affrontées. Elles peuvent être handicapées, dépendantes ou en situation d'exclusion sociale.
- Au sein des établissements fermés pour mineurs : les personnes passent la plus grande partie du temps à l'intérieur mais aussi en contact avec le personnel d'encadrement qu'il est important de protéger d'éventuelles contaminations, afin de ne pas compromettre la qualité des équipes et du service. Ces organismes en général, ne croulent pas sous le personnel donc l'absentéisme serait un fléau supplémentaire.
3) Les actions obligatoires pour améliorer la qualité de l'air intérieur
- A. Évaluation des moyens d'aération et de ventilation : la fréquence est annuelle.
C'est la vérification du renouvellement de l'air. Vérifier les ouvrants (fenêtres) et que les bouches d'aération et de ventilation sont ouvertes et fonctionnent. S'assurer que le volume d'air renouvelé est conforme au nombre de personnes présentes dans la pièce.
-B. Auto diagnostic de la qualité de l'air :
la fréquence minimale est tous les 4 ans. C'est le repérage des possibilités d'amélioration par réduction des émissions des polluants ou l'augmentation du renouvellement d'air.
- C. Campagnes de mesure des polluants : à chaque étape clef du bàtiment.
Chaque fois que sont réalisés des travaux. C'est le recueil de données objectives et quantifiables. Les étapes clef sont :
- - Les gros travaux, constructions, extensions, rénovations, toitures...
- - Les petits et moyens travaux, changements de fenêtres, remplacements des revêtements de sols, travaux sur les systèmes de ventilations.
- - Actions sur les locaux eux-mêmes, comme une nouvelle destination, un changement d'usage.
- D. Mise en oeuvre des plans d'actions d'amélioration régulièrement
- Actions correctives et planification de l'amélioration de la qualité de l'air intérieur. Le public doit être tenu informé sur de la mise en place des plans d'actions.
4) Les bienfaits de la purification de l'air
Pour protéger les personnes hébergées dans les établissements médicaux-sociaux(ESSMS), mais aussi le personnel de soins, d'encadrement et administratif, le purificateur d'air peut être d'une aide précieuse.
Le purificateur d'air intérieur aspire l'air de la pièce, le fait passer à travers des jeux de filtres ultra-performants qui éliminent les polluants biologues et chimiques. Il retient les particules ultra-fines (PM 2.5, les composés organiques volatils (COV) et renvoie dans l'atmosphere un air débarassé de ces polluants, purififé.
Il ne nécessite aucune installation spécifique, pas de branchement sur uen prise d'air et il se déplace d'une pièce à l'autre très facilement.
Son installation est simple, il ne nécessite aucun aménagement, une simple prise électrique standard suffit.
Pour s'assurer de faire le bon choix et ajuster le purificateur d'air aux besoins, quelques critères simples sont à considérer : le volume de la pièce, le nombre de personnes présentes et l'existence ou non d'une CTA (Centrale de Traitement de l'Air) efficace et entretenue
Chez AIR ET SANTE, nos purificateurs d’air sont de qualité médicale équipés de filtre HEPA 13 ou HEPA 14. ainsi que de filtres à charbon actif haute densité. Ils sont parfaitement conformes aux recommandations des grandes agences sanitaires comme l'Agence Nationale Sanitaire Française (ANSES) et le Haut Conseil à la Santé Publique. (HCSP)
AIR ET SANTÉ, société lyonnaise, équipe de ses purificateurs d'air de très nombreux établissements.
Nous avons su gagner la confiance de nombreuses collectivités locales, (Paris 9°, Paris 19°, Marseille, Grand Est, Auvergne Rhône-Alpes), institutions ou établissements publics qui ont installé nos purificateurs d’air et en ont apprécié les effets dans différents types et volumes de locaux : bureaux, salles de réunion, cantines, crèches, salles de classe...