Cabinets dentaires
Un air sain dans les centres et cabinets dentaires
Un cabinet dentaire est un lieu qui connaît une très forte fréquentation, de patients et membres du personnel, tout au long de l’année. Au sein d’un cabinet dentaire, nous retrouvons les dentistes, les assistants dentaires, les prothésistes dentaires, les techniciens de laboratoires dentaires et les patients.
Parce qu’ils travaillent au contact direct des patients, les professionnels de l'hygiène dentaire ont l’obligation de maintenir une hygiène parfaite de l'air intérieur leur cabinet. Cependant, il existe un risque de transmission de virus entre le personnel médical et avec les patients.
Il est difficile d’estimer les répercussions des infections transmises au sein d’un cabinet dentaire. Néanmoins, les dentistes et patients, en plus d’être exposés à la pollution de l’air intérieur, peuvent être sensibles face à des virus et polluants dangereux émis par l’exercice du métier.
Les cabinets dentaires font donc face à un problème de qualité de l’air intérieur crucial lié aux risques biologiques et chimiques dues aux restes de particules en suspension dans l'air.
1) Transmissions croisées dans un cabinet dentaire, qui est concerné ?
Dans un cabinet dentaire, par le biais des matériaux, des surfaces ou encore des soins dentaires procurés, les micro-organismes risquent de proliférer et de se transmettent d’un patient à un autre par voie orale. Les fines gouttelettes peuvent rester en suspension dans l’air pendant des heures et augmentent ainsi les risques de transmissions.
Les contaminations de patient à patient peuvent aussi se transmettre dans la salle d’attente.
L’air est contaminé par des micro-organismes (bactéries, virus, champignons, spores, acariens, moisissures) provenant de la bouche des patients et des polluants d’origine chimiques (Composés Organiques Volatils, ozone, azote, formaldéhyde) du fait de la désinfection régulière des surfaces.
Les dentistes, les prothésistes dentaires et leurs assistants peuvent être affectés par la transmission d’agents infectieux s’ils ont un contact direct (avec du sang, de la salive, du pus) et par voie aérienne (sang, liquides biologiques, eau du réseau). De plus, ils utilisent de nombreux produits chimiques et pratiquent des soins qui créent des émissions de polluants nocifs pour leur santé.
2) Sources de pollution de l’air dans un cabinet dentaire
Les patients et membres du personnel dans un cabinet dentaire sont exposés à plusieurs types de polluants :
- Les instruments rotatifs à haute vélocité comme les turbines et fraises produisent lors de leur utilisation des particules fines aéroportées potentiellement infectieuses.
Ces particules bucco-dentaires sont constituées de spores, de sang et elles peuvent être inhalées tout au long de la journée.
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Les instruments utilisés produisent aussi des poussières de résines, de céramiques, de pates et vernis.
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L’utilisation de désinfectants pour la stérilisation, de lingettes de nettoyage et les produits anesthésiques vont générer des composés organiques volatils (COV) néfastes pour la santé.
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Les polluants atmosphériques provenant d'une pollution intérieure et extérieure tels que le dioxyde et monoxyde de carbone, les matériaux de construction etc.
Le risque d’infections croisées entre le dentiste, le patient et ses assistants est, par conséquent, très élevé. Il existe des moyens et appareils appropriés, dont l’efficacité est attestée, permettant de combattre la propagation de polluants, bactéries et virus.
Nettoyer l’air ambiant des divers polluants est indispensable pour réduire le risque de contamination aérienne, réduire les odeurs, donc protéger les praticiens et rassurer les patients.
AIR ET SANTÉ vous permet de vous protéger et de préserver vos patients, nos purificateurs d'air nettoient l’air intérieur des particules fines, absorbent les COVs et réduisent les odeurs.
3) Les risques infectieux professionnels
Les cavités buccales des patients ont des caractéristiques particulières : Ce sont des foyers de microorganismes qui baignent dans la salive et dans le liquide gingival. Un millilitre de salive contient 750 millions de bactéries et un miligramme de plaque dentaire 100 millions.
Un patient vient principalement chez son dentiste pour soigner deux principales pathologies : des caries et des maladies parodontales, qui sont toutes les deux des maladies infectieuses.
Le dentiste soigne donc des maladies infectieuses dans un milieu complexe chargé de microorganismes. Ses instruments vaporisent dans l'atmosphère des particules issues de la bouche des patients, plus elles sont légères, plus elle peuvent rester en suspension longtemps dans l'atmosphere. L'attention portée à éliminer les aérosols produits par les instruments et donc éviter les risques de transmission est majeure.
4) La clé d’une bonne hygiène dans un cabinet dentaire
Parce que les contaminations croisées dans un cabinet dentaire et en laboratoire constituent un danger pour la santé du personnel du cabinet et pour le patient, il existe des méthodes permettant de maintenir une bonne hygiène.
Selon le Code de Déontologie des chirurgiens-dentistes, à échelle internationale, dans chaque cabinet dentaire, l’asepsie et le bon respect de l’hygiène, sont des obligations légales que doivent respecter les dentistes et leurs équipes. L’asepsie est un enchaînement d’actions de désinfection d’un espace entreprises par le personnel dentaire afin de prévenir la contamination des patients et du personnel et de causer des infections.
La purification de l’air est aujourd’hui un élément clé au sein d’un cabinet médical pour assainir l'air.
Les recommandations émises par la Haute Autorité de la Santé Publique (Source : HASP) et des agences régionales de santé sont d’aérer 15 minutes entre chaque patient et d’utiliser en cas de chauffage ou climatisation des appareils avec des filtres HEPA de classe H13 au minimum. Dans les locaux techniques l’air rejeté par l’aspiration doit aussi être traité grâce à un filtre HEPA (filtre haute efficacité) H13.
Que ce soit en salle d’attente ou dans le cabinet de consultation, respirer un air sain, purifié de toute particule fine, garanti un environnement plus sûr et sécurisé pour les patients comme pour le personnel.
Le purificateur d’air est un appareil à filtration mécanique qui, équipé d’un filtre HEPA 13 ou 14, retient jusqu’à 99.995 % des particules ultra-fines (bactéries, virus) et les Composés Organiques Volatils (produits d’entretien, odeurs) grâce au filtre à charbon actif.
Il est tout à fait possible d'activer, en fonction de vos besoins, les options de photocatalyse et de ionisation pour éliminer plus finement les particules fines qui échapperaient au filtre du purificateur d'air.
Enfin, en changeant le filtre du purificateur d’air tous les 6 à 12 mois, et la qualité de filtration vous augmentez les chances de filtration et d’un bon maintien de la qualité de l’air sur le long terme.
Optez pour une option simple et de bonne qualité afin de respecter les obligations de sécurité sanitaire.
Il existe un risque de contaminations croisées très fort aux seins des :