La qualité de l’air dans les entreprises et bureaux
Maintenir une bonne santé des collaborateurs
Au sein des entreprises et espaces de bureaux, la qualité de l'air intérieur est un élément important à maîtriser et donc à mesurer. Ces espaces regroupent des salariés, collaborateurs, visiteurs qui travaillent ensemble dans des lieux clos et accueillent en leur sein des parties prenantes ou clients.
La contamination par un collaborateur malade des personnes présentes dans son environnement professionnel crée des problèmes d’absentéismes, des désorganisations et des réticences à revenir sur les lieux de travail.
Ces craintes sont largement amplifiées avec le remplacement des bureaux individuels par des open-spaces et des salles de réunions.
1. L'univers professionnel et son contexte
La pandémie liée à la Covid-19 que nous avons vécu a été une période difficile pour tous et nous apprend que dorénavant il existe un risque important de vivre avec des risques de transmissions virales et de pandémies.
Nos comportements, nos gestes barrières, nos réflexes s’adaptent à cette nouvelle situation et nous devons réduire les contaminations au-delà de l’usage des masques et des vaccins.
Grâce à la vaccination un grand nombre de vies est sauvée, mais ce n’est pas suffisant. Des personnes non vaccinées peuvent être infectées de nouveau et celles non vaccinées sont toujours en danger.
Selon le Professeur Flahault, épidémiologiste et directeur de l'Institut de santé globale à l'université de Genève, aucune mesure n’est complètement efficace pour faire barrage à la pandémie. Et, si pour les personnes de moins de 60 ans, vaccinées et sans risque de comorbidité le risque d’hospitalisation ou de décès est très faible, le risque de Covid long existe toujours.
Au delà de la pandémie, selon Santé Publique France, les risques de contaminations courantes par voies aériennes sont la grippe, la rougeole, la bronchiolite, le virus de la varicelle, la bactérie de la tuberculose.
Toujours selon le Professeur, il est important d’appliquer les gestes « barrières » mais aussi qu’améliorer la qualité de l’air intérieur est une urgence de santé publique.
"95 % des contaminations surviennent dans des lieux clos, mal ventilés" (Source : Ouest France). Aussi bien nos habitations que les établissements recevant du publique (ERP) salles de classes et bureaux.
Aérer est la première des bonnes pratiques, mais cette action n’est pas toujours possible quelques fois pour des raisons techniques lorsque les fenêtres ne s'ouvrent pas, ou bien l’été à cause de la chaleur et l’hiver à cause du froid.
2. Une bonne qualité de l’air intérieur en milieu professionnel ?
Un bureau doit être un environnement qui permet un confort de travail et permettre une bonne productivité. Il doit être exempt de contaminants comme les particules fines, les composés organiques volatils (COV), les produits chimiques, les moisissures et les odeurs.
Le milieu professionnel est un lieu de vie particulier sur plusieurs points :
- Nous y passons une grande partie du temps passé à l'intérieur.
- Il dispose d'équipements particuliers, des copieurs, des imprimantes 3D, etc...
- Le nettoyage est plus exigeants avec des produits chimiques puissants.
- Le nombre de personne au m² est élevé.
- Lors des remaniements des espaces, recloisonnements, redimensionnements peu d'attention est portée sur la bonne aération, le positionnement des bouches de soufflage et de reprise d'air.
Dans le cas d’une qualité d’air médiocre, peuvent survenir des problèmes de santé tels que l’irritation des yeux, des voies respiratoires, des pathologie exacerbées comme l’asthme ou certaines allergies respiratoires.
Les agents pathogènes ou allergènes aéroportés provoquent des inflammations des voies aériennes, nez, gorge, sinus ainsi que des poumons.
La qualité de l'air intérieur (QAI) est un facteur de santé très important lorsque nous passons 80% de notre temps à l'intérieur de locaux. Dans le cas de locaux professionnels l'article R 4222-6 du code du travail qui date de 1985 impose un renouvellement d'air minimal de 25m³ par heure et par personne. Les Pays Européens eux, appliquent majoritairement un volume situé entre 34 et 90m³.
Un purificateur d’air pourra éliminer de l’atmosphère de très nombreux polluants, particules fines et ultra fines (PM 2.5) et composés organiques volatils.
Dans les polluants et particules fines, nous retrouvons :
- Des poussières, les particules fines en provenance de l’extérieur et qui pénètrent dans les locaux et se confinent,
- Des vapeurs et COV, produits par les imprimantes, photocopieurs, ordinateurs ainsi que les composés organiques volatils produits par des moquettes, tapis et les revêtements muraux et de sol, le mobilier,
- Des COV dégagés par les produits d’entretien, de désinfection, des colles, des peintures ainsi que des solvants,
- Des organismes en suspension dans l’air comme des acariens qui proviennent des coussins, tissus, fauteuils,
- Des champignons, des moisissures et de bactéries, tous contaminants microbiens générés par de l’eau stagnante dans des bacs, des réservoirs de récupération de condensats,
- Des gaz comme l’ozone, très fréquent car produit par des photocopieuses et des moteurs électriques,
- Des gaz et des odeurs comme la fumée de tabac, les parfums, les odeurs corporelles et de nourriture…
3. Une La mauvaise qualité de l'air intérieur et ses conséquences !
En respirant une mauvaise qualité de l’air, des symptômes peuvent apparaître comme des maux de tête, de la fatigue, une congestion des sinus, une toux et des éternuements. La pollution intérieure peut aussi être responsable de problèmes aux yeux (irritations), d’une sécheresse de la peau, d'étourdissements et de nausées.
Tous ces symptômes vont entraîner une hausse de l’absentéisme en entreprise, une baisse des fonctions cognitives (concentration, compréhension, collaboration), et compromettre le retour au bureau des collaborateurs.
Enfin, si l’air n’est pas largement renouvelé en continu, été comme hiver, les risques de transmissions croisées, entre les personnes porteuses de virus ou de bactéries et leurs collègues, sont élevés.
La Qualité de Vie au Travail ou QVT est un engagement important des entreprises et des partenaires sociaux. Elle permet d’associer le souci des conditions de travail pour les collaborateurs ainsi que les performances. Elle facilite le retour au bureau et la réduction de l’absentéisme.
4. Les problèmes de santé liés à la qualité de l'air et les solutions
Lorsque les occupants ressentent des effets indésirables sur leur santé, directement liés au temps passé dans les bureaux de l'entreprise, il s'agit du syndrome du "sick-building" ou bien SBS ou syndrome du bâtiment malsain (Source : Cairn Info). Dans les cas les plus graves, la réaction à certaines substances chimiques peut rappeler le syndrome d’hypersensibilité chimique multiple ou MCS pour Multi-Chemical Sensitivity.
Les purificateurs d’air purifient l’atmosphère et renouvellent l’air en le filtrant pour le nettoyer des polluants biologiques et chimiques, particules fines et composés organiques volatils.
AIR ET SANTÉ dispose d' une gamme de purificateurs d’air à filtration mécanique de qualité médicale. Equipés de filtres HEPA 13 ou HEPA 14, de filtres à charbon actifs et pilotés par leurs détecteurs de qualité d’air, ils nettoient l'air de l’ensemble des polluants. Ils proposent aussi des options d'élimination des polluants grâce aux ioniseurs et à la photocatalyse.
Ces appareils s’adaptent à chaque exigence des utilisateurs, en passant par le petit bureau de 10 m², à la salle de réunion de 120 m² et jusqu’au restaurant d’entreprise de plus de 500 m².
Le purificateur d'air prouve son efficacité dans les open-spaces, les salles de réunion et les espaces de coworking.