Alors que la pandémie liée à la Covid-19 semble enfin se terminer, il est important de rassurer et protéger chacun, pour favoriser le retour à la normale.
Le port du masque ne sera plus obligatoire. Néanmoins, des craintes subsistent pour les salariés comme pour les clients et visiteurs.
Les espaces intérieurs ne sont pas, ou ne peuvent pas toujours être bien ventilés et les contaminations croisées sont toujours possibles. Adopter le purificateur d’air est un bon moyen de faire revenir ses collaborateurs avec le sourire.
Attention, en 2022, place aux changements dans les règles sanitaires pour lutter contre la propagation du COVID-19.
Depuis lundi 28 février 2022, les restrictions sanitaires sont allégées, finit le port du masque dans les lieux clos soumis au pass vaccinal.
Dès le 14 mars 2022, le port du masque et la présentation du pass vaccinal ne seront plus obligatoires dans les lieux publics; à l’exception des transports et établissements de santé.
2020-2022 : Une phase d’adaptation
Depuis le mois de février 2020, la COVID-19 est venue bouleverser nos habitudes. A la surprise générale, un nouveau virus a fait naître des restrictions considérables dans la vie publique.
Entre le premier confinement, les efforts d’adaptations à un nouveau mode de vie, jusqu’à l’effet de la 4ème vague, l’individu a su s’adapter.
Le Covid a provoqué un changement de nos modes de vie, de travail, notre relation aux autres, à notre environnement, etc.
Le protocole sanitaire, un allègement progressif
Le 1er Juillet 2021 naît l’obligation de présentation du « pass sanitaire » à l’entrée des lieux publics et privés en France. Il a été adopté dans les pays européens. En format numérique ou papier, c'est une preuve sanitaire dédiée aux personnes qui disposent d’un schéma vaccinal complet. Il s’est étendu dans d’autres pays d’Europe et s’applique aux personnes âgées de 12 ans et plus.
Son objectif ? Permettre aux commerces et autres établissements d’ouvrir et accueillir du public. De plus, il est utilisé pour inciter à la vaccination au plus grand nombre.
Le port du masque dans les espaces clos est devenu obligatoire le 1er août 2020. Avant tout, cette contrainte était appliquée dans les grandes villes pour ensuite s’étendre dans toutes les villes de France.
Son objectif ? Limiter les risques de propagation du Covid et des contaminations croisées dans les lieux clos ou en extérieur.
Il était peu accepté et très revendiqué à la fin de l’année 2020 et début de l’année 2021. Le port du masque est aujourd’hui un accessoire devenu indispensable dans notre quotidien. Il doit être porté dans les transports en commun et les espaces intérieurs : établissements de santé, lieux de cultes, culture, lors des événements, espaces de restaurations et en entreprise.
Voici la liste des lieux concernés dans lesquels nous pouvons retirer notre masque :
- Salles de spectacle / concert,
- Salles de sport,
- Cinémas,
- Salles de jeux,
- Bibliothèques,
- Bars & restaurants,
- Foires et salons professionnels,
- Séminaires professionnels.
L’inquiétude d’une mauvaise qualité de l’air
La qualité de l’air extérieur
Aujourd’hui, la qualité de l’air que nous respirons est une des premières inquiétudes sanitaires et environnementales. Les médias communiquent beaucoup, et pour cause, nous respirons en moyenne 20 000 litres d’air par jour. Elle est mesurée par des Associations Agréées de Surveillance de la Qualité de l’Air (AASQA), et fédérée par le groupe ATMO.
L’air est un mélange de différents aérosols, parfois invisibles et inodores, qui varient tous les jours dans l’atmosphère. L’atmosphère peut changer de couleur en fonction de la présence élevée (ou non) de dioxyde d’azote et du taux de particules fines. En somme, des odeurs sont senties en cas de combustion de fuel, bois, carburant etc.
Malheureusement, l’air n’a plus rien de pur en zone urbaine ou rurale. Nous retrouvons ces concentrations variables et complexes de polluants.
La qualité de l’air intérieur
La qualité de l’air intérieur est presque plus préoccupante que celle de l’air extérieur. Pour rappel, l’air de nos intérieurs est jusqu’à 9 fois plus pollué que l’air extérieur.
Nous restons la plupart de nos journées dans des lieux confinés et respirons la pollution provenant du mobilier, des peintures, des sols, ainsi que des produits d’entretiens. Ces polluants ou Composés Organiques Volatils (COV) sont de synthèse et nocifs pour la santé.
Les effets de la pollution de l’air sur la santé
Les conséquences de la pollution sur notre santé peuvent être immédiates ou nous affecter sur le long terme.
En 2021, Santé Publique France affirme que « La mortalité liée à la pollution de l’air ambiant reste un risque conséquent en France avec 40 000 décès attribuables chaque année aux particules fines (PM2,5) . ».
Au niveau national et international, les impacts sanitaires de la pollution de l’air sont néfastes. Peuvent survenir des affections du système respiratoire, cardiovasculaire, nerveux et hormonal. Les effets diffèrent d’un individu à l’autre. Cela dépend taux de pollution absorbé, de leur condition physique et du patrimoine génétique. (Source : 2021, Respire Association).
La France « est en infraction depuis plusieurs années concernant les valeurs limites de particules fines (PM10) et de dioxyde d’azote (NO2). ». L’association Respire a récemment publié des études, faites en 2015 et 2019, démontrant que 8000 établissements scolaires de la région Auvergne Rhône-Alpes dépassent les recommandations de l’OMS en matière de pollution. (Source : Respire Association, 2022).